Pour les handicapés, pratiquer le ski leur permet de dépasser leurs limites et de s’adapter grâce à un enseignement et un entrainement appropriés et avec un équipement spécialement conçu pour cette activité.
Trouvez ci-dessous quelques catégories du handiski :

L’hémorragie peut se manifester après ce qui serait une blessure relativement bénigne chez un sujet avec des facteurs de coagulation normaux.
Afin de faire en sorte que votre expérience à la montagne et au ski soit sûre et mémorable, Born Skier® vous fournit une information précieuse ainsi qu’une carte mondiale à jour de tous les centres de traitement de l’hémophilie de façon à ce que vous puissiez sélectionner le plus proche de votre destination.
Pour plus d’information ou une aide spécifique, contactez nous directement.


Bi-Ski: Le bi-ski a été développé par des personnes qui skiaient en position assise. Ceci inclut les personnes atteintes de scléroses multiples, de dystrophie musculaire, de
paralysie cérébrale, de spina bifida, de lésions cérébrales ou médullaires. Un skieur bi-ski est assis dans une coque moulée en fibre de verre montée sur deux skis spécifiques. Grâce à une base plus large, les bi-skis procurent un meilleur équilibre que le monoski. Le skieur en bi-ski peut skier de façon indépendante avec l’aide de ses deux bâtons terminés par de petits skis pour l’aider à rester en équilibre et à tourner. Pour les skieurs débutants et ceux qui ont besoin de plus d’assistance, des longerons fixes et un guidon peuvent être utilisés. Le bi-ski doit être testé par un moniteur quand les longerons fixes sont utilisés
.
Triple-trace : Les skieurs « triple-trace » ont une jambe et deux bras en bon état. Ce sont généralement des personnes qui ont subi des amputations, ou ont des séquelles de poliomyélite ou d ‘hémiplégie. Ces skieurs « triple-trace » utilisent un ski de taille normale et une paire de bâtons-skis, leur donnant ainsi trois points de contact avec la neige. Ils progressent habituellement assez rapidement.
Quadruple-trace : Les skieurs « quadruple-trace » utilisent deux skis et deux bâtons leur procurant quatre points de contact avec la neige. Ils utilisent quelques fois un système qui empêche les skis de se croiser ou de flotter. Les personnes qui ont des problèmes avec leurs membres inférieurs sont celles qui peuvent bénéficier des cours spéciaux « quadruple-trace ». Ceci peut aussi comprendre les personnes atteintes de paralysie cérébrale, de spina bifida, de lésions médullaires, de multiples scléroses, de lésions cérébrales ou celles qui ont subi des amputations des membres inférieurs. Pratiquement toute personne pouvant marcher avec des cannes ou des béquilles peut pratiquer le ski « quadruple-trace ». Les bâtons-skis sont adaptés à des hauts de béquilles dont la partie terminale est monté avec de petits skis facilitant ainsi la stabilité et les virages.
Le ski-chaise : Le « ski-chaise » fut une des premières positions à skis développée pour les personnes ayant un problème aux membres inférieurs. Ceci inclut celles souffrant de multiples scléroses, de dystrophie musculaire, d’amputations des membres inférieurs, de paralysie cérébrale, de spina bifida, de lésions cérébrales ou médullaires. Le « ski-chaise » est généralement préféré par les personnes atteintes de limitations physiques significatives.
Afin de tourner en « ski-chaise », le skieur peut enfoncer de très petits bâtons-skis dans la neige et se pencher dans la direction choisie.
Nous souhaitons que les renseignements que vous trouverez sur Born Skier® seront suffisantes afin de vous aider à planifier votre séjour, en vous montrant des sélections spécifiques et en vous situant les services médicaux et infirmiers les plus proches.
Pour toutes suggestions, commentaires ou pour plus de renseignements, contactez nous directement.
Les personnes en fort surpoids doivent consulter un médecin et s’assurer qu’elles ont une condition suffisante afin d’écarter les risques de blessures physiques et de problèmes cardiaques qui pourraient directement résulter de la pratique du ski et d’autres activités de plein air. Leur endurance et leur souplesse sont souvent diminuées ce qui leur rend plus difficile la pratique du ski.
Comme ils sont en surpoids, leur corps subit plus de forces et leurs articulations plus de pressions. Restez actifs, préparez vous bien et faites attention à votre sécurité : connaissez vos limites !
Sélectionnez un moniteur selon vos propres besoins et des critères spécifiques.
Les personnes affectées d’un handicap mental peuvent pratiquer le ski de façon normale. Des adaptations doivent être demandées suivant le niveau de compréhension. Le moniteur doit être averti des déficiences afin d’adapter son enseignement et sa manière de s’exprimer.